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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Georges Irat MDS et MDU, voiture routière de 1935


La Georges Irat MDS et MDU, cette ancienne voiture fut construite de 1935 à 1940, cette Georges Irat MDS, ou MDU fut produite de 1935 à 1940 en 3 motorisations de 0.9 L à 1 L présentant des puissances de 26ch à 37ch.


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En 1934, la société Georges Irat emprise à des difficultés financière fusionne avec les établissements Godefroy et Lévêque, constructeurs du moteur Ruby et s’installe à Levallois Perret près de Paris.

Au salon d’octobre 1935, Georges Irat présente un roadster léger à traction avant équipé du groupe Ruby retourné de 950 cm3 type MM, puis, en 1936, du 1 097 cm3 type MDS et en 1937, du 1078 cm3 type MDU, qui devient MDU 4 en 1938 avec le bloc 1097 cm3 pour évoluer en ODU 4, 1078 cm3 en 1939.
- Le châssis reçoit une suspension à quatre roues indépendantes, par coulisses et ressorts hélicoïdaux à l’avant et à l’arrière par des ressorts cantilevers assistés de rondelles de friction bientôt remplacées par des anneaux de caoutchouc Neiman.
- La voiture très basse, dispose d’une excellente tenue de route, mais les performances modestes des moteurs Ruby dont la conception remonte à quinze ans, pénalisent les ventes.
- Pour chercher à pallier ce défaut, G Irat essaye une version à compresseur Cozette n°6, qui permet de dépasser 130 km/h, le moteur supporte mal l’évolution.
- La solution arrive en 1939, avec le type OLC 3 et l’adoption du moteur 11 CV de la traction Citroën, mais dans cette version, vendue seulement à une cinquantaine d’exemplaires ce sont les flectors qui ne résistent plus à l’augmentation de la puissance.

Au Salon 1935, c'est la surprise totale pour le public adieu les berlines gourmandes, place aux petits roadsters et cabriolets à traction avant, ils séduisent d'emblée une clientèle de jeunes à la recherche de sensations fortes, ces aguichantes 5 et 6 CV Georges Irat ne sont pas des foudres de guerre. Le roadster va un peu plus vite sur route que le cabriolet, car plus léger de 70 kg.

1939, c'est l'année du lancement du cabriolet type OLC, à moteur Citroën équipant les fameuses Traction, parmi la petite centaine d'exemplaires construits, on en dénombre quelques-uns équipés de boîtes de vitesses et directions Citroën... mais aussi de freins hydrauliques.
- Quant aux cabriolets et roadsters à moteur Ruby 6 CV, le chiffre de production avoisine les 400 exemplaires. Autant dire qu'aujourd'hui les survivants sont rares !
- Après-guerre, Georges Irat abandonnera cette production et refera surface, épisodiquement, à coup de prototypes étonnants et tout-terrain sans lendemain.
- Il aura plus de succès dans le domaine des utilitaires par le biais de moteurs à huile lourde, les DOG commercialisés jusque dans les années 60.

Georges Irat fait ses premiers pas dans le monde de l'automobile a un peu plus de 20 ans et assure la vente de véhicules venant de l'étranger, avant de se tourner vers la marque Majola.
- En 1921, il rachète la marque Majola et il fait appel a l'ingénieur Maurice Gaultier, Georges Irat lui confie l'étude d'une 2 litres, elle est prête pour le Salon de l'Auto de 1921.....

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Georges Irat ", France 1921 - 1960.

C'est par un poste de directeur du service automobile à la Compagnie générale d'électricité que Georges Irat fait ses premiers pas dans le monde de l'automobile il a un peu plus de 20 ans.

Cette entrée en matière est interrompue pour cause d'obligations militaires, auxquelles, a sa libération, il revient à ses premières amours et assure la vente de véhicules venant de l'étranger, avant de se tourner vers la marque Majola.

En 1921, il la rachète et, poussé par le démon de la construction, il fait appel a l'ingénieur Maurice Gaultier. Georges Irat lui confie l'étude d'une 2 litres.

Au 37, boulevard de la République, à Chatou, où sont implantés les ateliers Georges Irat, les travaux vont bon train et la 2 litres est fin prête pour le Salon de l'Auto de 1921.

En 1927, tout auréolé de l'honorable percée de ses 2 litres, Georges Irat diversifie sa producrion et cède à la mode des six cylindres.

Mais la crise économique est au bord des frontières de l'Hexa-gone et ce modèle subit un retentissant échec commercial. Ne baissant pas les bras, G. Irat a en tête un nouveau véhicule pour aborder 1930, année qui correspond au transfert de son usine au 67 boulevard de Levallois, à Neuilly.

En 1932, croyant trouver son salut dans la diversité, l'infortuné Irat commercialise une 28CV, à moteur Lycoming. Et troisième ''flop" commercial ! En 1934, tout va mal dans la maison Georges Irat. Celui-ci change alors radicalement son fusil d'épaule, mutation qui découle du rachat des Etablissements Godefroy et Lévèque, constructeurs des célèbres moteurs Ruby qui ont activement participé au développement de la "vague cyclecar" dans les années 10-20.

Au Salon 1935, c'est la surprise totale pour le public adieu les berlines gourmandes, place aux petits roadsters et cabriolets à traction avant ! Un rien tape-à-l'oeil, ils séduisent d'emblée une clientèle de jeunes à la recherche de sensations fortes, ou du moins adeptes de la conduite cheveux au vent car ces aguichantes 5 et 6 CV Georges Irat ne sont pas des foudres de guerre. Le roadster est un peu plus vite sur route que le cabriolet, car plus léger de 70 kg.

1939, c'est l'année du lancement du cabriolet type OLC, à moteur Citroën équipant les fameuses Traction. Parmi la petite centaine d'exemplaires construits, on en dénombre quelques-uns équipés de boîtes de vitesses et directions Citroën... mais aussi de freins hydrauliques. Très faible production donc pour cet hybride mal dans sa peau dont le prix de lancement atteignait 32.500 F contre 31.100 F pour le cabriolet Citroën, plus performant.

Quant aux cabriolets et roadsters à moteur Ruby 6 CV, le chiffre de production avoisine les 400 exemplaires. Autant dire qu'aujourd'hui les survivants sont rares !

Après-guerre, Georges Irat abandonnera cette production et refera surface, épisodiquement, à coup de prototypes étonnants et tout-terrain sans lendemain.

Il aura plus de succès dans le domaine des utilitaires par le biais de moteurs à huile lourde, les DOG commercialisés jusque dans les années 60.

Mais Georges Irat avait pris depuis longtemps une retraite bien méritée.




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